Toujours moins de plastique : du rayon fraicheur à la vente à emporter !
Alors que le déconfinement total a pointé son nez comme une ère de liberté retrouvée, la lutte contre le plastique continue. En effet, depuis quelques mois, une trêve contre l’emballage semblait plus ou moins actée face au confinement et face à une demande croissante.
Le combat est reparti comme récemment l’interdiction pure et simple du polystyrène dans les emballages de plats à emporter. Le verre, le carton auraient donc le vent en poupe mais pour combien de temps ? Durant cette période compliquée et malheureusement pas encore complètement derrière, le marché du snacking, de la vente à emporter, a mis en exergue une autre façon de consommer : la consommation nomade.
Qu’engendre la consommation nomade sur l’utilisation du plastique ?
Des marques ont eu l’idée de lancer des concepts de packaging plus respectueux de l’environnement et en même temps ingénieux, solides, pratiques, conviviaux comme les différentes offres de Flycup, qui allie toute cette dynamique à l’éco-conception par un matériau 100% recyclable.
Aujourd’hui, le trop de plastique associé à une réglementation plus drastique et l’œil de plus en plus affuté du consommateur avec globalement une prise de conscience collective pour préserver nos ressources naturelles et notre planète, pousse le consommacteur à bien manger, à manger sain avec une attention particulière au contenant (recyclable ou réutilisable).
Le marché de la barquette plastique évolue également pour aller vers des solutions moins polluantes et plus responsables. On parlera de solutions alternatives et innovantes pour diminuer son impact et son empreinte sur l’environnement. Le couple carton/plastique permet de réduire la part plastique tout en gardant sa rigidité par le carton associé (possibilité de communiquer tout en apportant une dimension écologique). La finesse du film thermoformé permet quant à lui, une bonne capacité barrière avec un espace de scellage important et résistant permettant l’utilisation de toute sorte de film d’opercule.
La problématique de la DDM (Date de Durabilité Minimale) est respectée. Avec les solutions Virgin Bio Pack, utilisez vos propres films !
Toutes ces évolutions doivent être accompagnées par les fabricants d’emballages qui ont également un regard sur l’adaptation de l’outil de production pour éviter toute révolution mais également amorcer et soutenir des choix industriels qui collent aux tendances du marché, de la demande du consommateur qui associe sécurité alimentaire et bons produits à la mouvance : encore moins d’emballage.
Etre créatif n’est plus le mot d’ordre, être ingénieux et savoir se projeter sont les deux mots qui paraissent judicieux pour repenser l’emballage de demain… ne surtout pas rester seul dans son coin mais faire travailler l’intelligence collective autour de cette question semble être plus qu’un appel à projet mais une ligne directrice pour les dix prochaines années ! Les matériaux d’aujourd’hui ne seront pas ceux de demain et pour cela il est bon de se mettre autour d’une table pour anticiper le virage.
Le snacking n’est plus synonyme de « Mal bouffe » ; pour preuves, les Chefs ont trouvé une nouvelle façon d’ouvrir leur carte, ouvrir leur offre face à une nouvelle génération de clients probablement plus tournée vers une cuisine inventive, traditionnelle avec de nouvelles saveurs embarquées mais sans la recherche d’un cadre figé, d’un protocole établi avec un temps limité à consacrer à cet art de vivre à la française. Les emballages prennent alors leurs sens pour magnifier les plats même si simples soient-ils : développement exponentiel des bocaux en verre à emporter et consignés !
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