Vente à emporter : comment Flycup packaging a-t-il développé un packaging pratique et éco-conçu ?

Depuis maintenant un an, comme nous l’avons vu dans cet article, notre mode de « consommer » a fortement évolué pour s’adapter au mieux à cette période compliquée.

L’emballage véritable caméléon de l’IAA et témoin des nouveaux modes de consommation !

L’emballage est un acteur fort de cette « révolution » qui a su prendre différents tournants pour répondre au besoin du consommateur, de l’industriel, et malheureusement des restaurateurs qui prennent de plein fouet cette situation dramatique pour leur activité traditionnelle.

Fort est de constater que les fabricants d’emballages en carton, en verre, en bois qui ont intégré un BE (bureau d’étude) ont su rapidement proposer des nouveautés produits pour coller aux nouveaux enjeux de la consommation alimentaire et soutenir une demande importante de l’IAA pour innover, se démarquer.

La vente à emporter tire son épingle du jeu même si la situation actuelle reste difficile. Le marché a vu émerger des projets de packaging pour la consommation nomade et la livraison à domicile pour pallier les rassemblements autour d’une bonne table ou même à un regroupement dans un lieu public (jardin, parc, place publique, stade, concert).

Flycup packaging : un emballage éco-conçu destiné à la consommation nomade

Flycup packaging (dirigée par Olivier Rousseau) est l’exemple d’une PME qui au-delà de cette période particulière a anticipé des bouleversements, des tendances de consommation pour proposer des solutions d’emballages pratiques, nomades pour faciliter des repas en mouvement ou pas, tout en laissant une main disponible. Cet emballage en carton est éco-conçu et recyclable avec un espace de communication à 360° qui permet aussi la vente à emporter pour garder les plats chauds, le temps d’un court trajet.

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Vente à emporter : comment gérer la fin de vie de l’emballage ?

En revanche, la multiplication de ces nouveaux emballages pose la question de la fin de vie de ceux-là. Le consommateur ne sait pas forcément quoi faire de ce packaging après utilisation. Le jeter c’est normal mais où ?

Pourtant, ce même consommateur chez lui va trier naturellement ses emballages issus d’achats sur un lieu de vente ou en ligne. C’est rentré dans les mœurs et c’est de plus en plus culturel. Cet aspect de fin de vie de l’emballage a été une ligne directrice pour Olivier Rousseau qui a intégré dans son développement de solutions d’emballages nomades cette fameuse notion en sensibilisant le consommateur.

D’autres entrepreneurs, aussi poussés par les acteurs des circuits de distributions pour diminuer l’impact de l’emballage sur notre environnement réfléchissent sur des nouveaux matériaux ou même des mixtes comme le couple carton/plastique. Comme par exemple , pour une barquette telle que la gamme Hybric® : utiliser le plastique pour la barrière alimentaire et le carton pour la rigidité = baisse de la part plastique tout en protégeant de la même manière le produit / baisse de l’empreinte de cet emballage sur notre écosystème.

 

Il est certain que de nouvelles solutions vont émerger dans les prochains mois car la révolution des emballages est en route avec toujours à l’esprit les obligations de protéger le produit, le consommateur, d’apporter des informations réglementaires jusqu’à la consigne de tri sans oublier la communication corporate (l’entreprise a une histoire à raconter et à dispenser ses valeurs).

La conscience collective est importante pour repenser notre façon de consommer et d’appréhender le cycle de vie d’un produit dans sa globalité ; l’emballage plus que jamais en fait partie. L’innovation est le fer de lance de nos entreprises pour réinventer nos métiers et répondre aux besoins de demain du consommateur, que nous sommes, et aussi pour participer collectivement à la protection de l’environnement.